Depuis quelques temps, je cherche le secret de l’équilibre entre mon travail et ma famille.
Et ce matin, alors que j’ai réussi à rester au lit pendant 1h30, et qu’ensuite on m’a même apporté du café, je me suis surpris à penser que c’était dimanche sur le calendrier, et j’avais 4 personnes à mon emploi du temps, en alternance avec mon conjoint. Il a aussi des clients aujourd’hui.
Et là, la logique humaine entre en jeu : le dimanche, il faut se reposer. Je commence à rsentir à l’intérieur de moi-même, remarquant honnêtement que je ne veux pas me reposer.
Je me suis donc permis quelque chose de nouveau, car ce n’est pas tous les matins que je m’autorise à m’allonger 1h30. Je peux même dire que j’ai oublié quand c’était pour la dernière fois.
Il s’avère que j’ai remarqué un moment crucial – que mon travail et ma profession s’étaient tellement intégrés dans ma vie ! Elle le combine déjà tellement bien que je choisis moi-même, en fonction de mon ressenti intérieur, quand et combien de clients attribuer.
Je détermine moi-même la charge de travail et leur nombre. Mon travail est ma vie.
Et donc j’ai vu un point tellement intéressant qu’une personne qui a un travail qu’elle doit exercer, cela semble avoir été sorti du contexte de sa vie. Autrement dit, je suis arrivée au bureau à 9 heures du matin, je me suis consacrée au travail et à 18 heures je me suis rendu à moi-même.
Si elle a assez de temps et d’énergie pour elle-même, elle vit toujours et fait quelque chose après 18 heures, et s’il n’en a pas assez de temps pour le faire, alors tant pis. Maison, repas, enfants, chien, chat, mari – et le matin suivant, tout est pareil.
Donc, dans mon monde, cela n’a plus été le cas depuis très longtemps. Dès que j’ai commencé à travailler en étroite collaboration en tant que spécialiste GSR et à m’y plonger, j’ai réalisé que mon métier, mon travail, est une sorte de flux. Un flux clé, un flux ou vecteur principal. Et plus j’y travaille, plus j’y suis stable. Ce flux me donne un développement personnel, une expansion, un point de contact pour voir mes forces et mes faiblesses et les changer.
Il me semble que ce n’est qu’un métier de rêve, car je n’ai jamais rien vu d’autre ou de similaire dans une société où le travail, si vous exercez un métier, devient une partie de la vie.
Ils disent : « Si votre travail devient un passe-temps, alors vous ne travaillerez pas un jour ».
Je changerais définitivement cette phrase : si votre travail devient votre vie, vous vivrez chaque jour.
Le travail en tant que spécialiste du système GSR permet de vivre au quotidien. Votre vie, que vous choisissez !
©Traduit par Maria Neugodova
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