Ils me frappent à la tête ? C’est ce que je mérite ! 

Que peut faire une personne qui n’a pas de force ? Ou dont la force ne suffit qu’à « aller au magasin et préparer quelque chose pour ne pas mourir de faim » ? 

Est-ce que quelqu’un dans un tel état peut rêver d’une belle vie, de gagner de l’argent, d’une carrière, de relations, et qu’est-ce qu’une telle personne peut offrir à son enfant ? 

Rien ! 

Rien ne motive une personne dans cet état. 

Même si on lui offrait des vacances à la mer, il refuserait. Il refuserait, car il se sent comme un sac de pommes de terre. Un sac de pommes de terre n’est pas intéressé par la mer. Il n’a pas la force de vivre. 

C’est exactement ce que j’ai ressenti il y a deux ans. À ce moment-là, je ne travaillais pas, je n’avais rien à faire, je me fatiguais simplement sans raison. 

Je me réveillais déjà fatiguée. Deux heures passaient, et j’avais besoin de dormir encore quelques heures pour tenir jusqu’à la fin de la journée. 

Mes proches en avaient assez d’entendre de moi la phrase « Je suis fatiguée ». En plus, j’avais mal à la tête presque tous les jours. J’ai consulté des médecins, passé des analyses, etc. Mon corps était en bonne santé, mais je n’avais pas la force. 

Quand j’avais 14 ans, j’ai écrit dans mon journal intime : « J’ai une estime de moi basse ». 

Quand je suis devenue mère, j’ai compris que ma solution était la psychologie, et j’ai lu des livres, participé à différents ateliers et cours pendant mon temps libre. 

Ensuite, je suis allée chez un psychologue, mais tout cela n’a donné que des résultats temporaires. Je pensais toujours que j’étais seule responsable de tout ce qui se passait dans ma vie. 

Si quelqu’un me traitait mal ? C’était de ma faute. 

Si on me trahissait ou me rabaissait ? C’est que je le méritais. 

Si on me laissait tomber ? C’est que je n’étais pas assez bonne. 

e me sentais coupable de tout. 

C’était ma perception de moi-même. 

J’étais victime, de la tête aux pieds. 

Un jour, après avoir encore une fois exprimé mes plaintes, une amie m’a proposé de consulter un spécialiste pour une séance de GSR (Le Système de Développement Profond). 

Je voyais littéralement le changement sur son visage (elle commençait à paraître différente, son visage s’illuminait). 

J’ai donc décidé de faire confiance et je suis allée voir le spécialiste en lui disant : « Je n’ai pas de force ». 

C’était le 27 juillet 2021. 

Dire que j’ai été surprise serait un euphémisme. Le spécialiste m’a parlé de toute la douleur de mon âme… que je n’avais pas de force parce que je me définissais entièrement par un sentiment de culpabilité… 

Le jour même après la séance, je me suis sentie mieux, j’ai vu immédiatement des résultats. 

Les forces revenaient, et je me sentais bien. 

La douleur dans ma tête, qui me tourmentait chaque jour, a disparu. 

J’ai commencé à vivre ! Vivre pleinement ! 

On m’a expliqué que je pouvais me faire des séances moi-même. Le 7 novembre 2021, j’ai acheté le 1er Module de GSR, la méthode originale de Dmitry Ustinov. Il coûtait et coûte toujours 14 000 roubles (~150€). 

C’est ainsi que j’ai appris à travailler de manière autonome avec mes sentiments. 

C’est grâce à ce module que j’ai amélioré ma relation avec ma fille adolescente, nous sommes devenues proches et complices. 

C’est ma plus grande victoire ! Elle a commencé à bien réussir à l’école, à avoir des objectifs dans la vie. 

J’ai trouvé un emploi en très peu de temps, j’ai organisé une tournée pour le théâtre dramatique d’Artsakh (Haut-Karabakh) à Lyon, en France, 

je me suis présentée sur les réseaux sociaux en tant que traductrice, et j’ai commencé à gagner de l’argent (auparavant, pendant 10 ans, j’avais peur de me présenter). 

On m’a invitée à animer une émission de la radio arménienne 

 à Lyon, et notre émission a battu tous les records d’écoute sur cette station de radio depuis sa création. 

Maintenant, je développe enfin mon blog. Il y a quelques jours, j’ai fait mes débuts et j’ai animé ma première émission en direct. 

J’ai toujours rêvé de travailler à la télévision. 

J’ai même obtenu un diplôme en réalisation télévisuelle, mais j’ai presque oublié mon rêve, car c’était quelque chose d’impossible pour moi… 

Mais pour moi, me présenter c’est réaliser un rêve ! 

Je voyage beaucoup plus maintenant ! 

Une autre grande victoire pour moi, c’est que je ne sais plus souffrir ))) Oui, oui)) J’ai été une souffre-douleur professionnelle toute ma vie, une victime, mais plus maintenant ! 

Connaissez-vous le bonheur de se réveiller le matin et d’avoir la tête vide. Vous n’imaginez pas de dialogue avec quelqu’un, vous ne prouvez rien à personne, vous ne vous inquiétez de rien. Chaque jour apporte ses tâches, et vous les résolvez simplement dans un état serein. 

C’est un grand bonheur. 

Je veux avouer que je n’ai jamais été aussi heureuse de toute ma vie qu’aujourd’hui. 

Je travaille presque tous les jours sur moi-même avec l’aide du Premier Module de GSR, et je vois les résultats dans ma vie. Ma vie s’améliore de jour en jour. Vraiment, avec le Premier Module, tout est possible ! 

Photos avant et après, les trois dernières datent de 2020.

Haykuhi Danielyan

Haykuhi DANIELYAN. J’habite à Lyon, en France.

Je pratique le 1er module GSR depuis plus de 2 ans. Je suis spécialiste GSR du 2e module depuis mars 2024.

Je suis consultante, accompagnatrice et interprète en français, arménien et russe.

Je suis télé-réalisatrice de formation. Je travaille en tant que présentatrice à Radio Arménie à Lyon.

Je suis maman d’une fille de 18 ans.

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